o mer si tu savais comme tu me manques
pouvoir aller te voir sentir les embruns sur mes joues
sentir tes caresses sur mon visage ou bien mon visage fouetté par cet air si vivifiant
j'ai hate de retourner te voir tu me manques tant
pour moi tu es source de vie tu m'enveloppes tu me sécurises devant ton immensité je me sens o combien petite mais aussi quelle force je reçois de toi en observant tes mouvements de flux et de reflux tu me berces avec le bruit du roulement des vagues sur les galets c'est une musique qui m'est personnelle et que j'aime tant
observez l'horizon c'est chose magique pour moi je pars en voyage avec et bizarrement je ressens une grande paix intérieure tout comme quand je suis dans les montagnes qui me sont si chères aussi
nature tu es ma force sans toi je suis si petite minuscule
dans deux semaines il y a arrivée de vieux gréements à FECAMP je ne désespère pas d'aller les admirer même un court instant j'en ai tant envie j'adore ce monde
que ce soit les gens proches de la terre, de la mer, de la montagne je suis peut être aveugle mais je les ressemble ouverts et pas superficiels ils sont habitués à vivre avec DAME NATURE et chez eux l'entraide n'est pas un vain mot
pour cela, si un jour vous passez par fécamp, écoutez les vieux pêcheurs parlés et se racontés au "bout monteux" ils sont géniaux hélas dépêchez vous car c'est espèce de gens en voie de disparition la pêche au long cours n'existant plus