un jour ma mère m'a donné la vie

comme pour nous tous et toutes

nos parents nous ont transmis l'amour qui leur était possible de nous donner

nous nous sommes construits ainsi

à l'adolescence, nous rêvons souvent

qu'il n'y aura plus de haine, plus de guerre,

que la planète sera plus détruite, qu'on l'écoutera

plus tard nous sommes amour de tel ou tel acteur ou chanteur

et puis la vie faite son chemin sur nous

nous devons adulte

nous nous rendons compte que l'essentiel dans la vie  pour les uns  les enfants  pour d'autres le travail  sans oublier l'être qui nous accompagne dans notre vie et nos ami(e)s   nos passions

un jour, nous nous rendons compte que NOUS sommes mous même un héro  car seul  c'est nous l'ACTEUR DE NOTRE VIE

faisons là la plus douce, la plus tendre, la meilleure possible pour nous, avec harmonie et tendresse

sachons rire de nous et nous serons heureux

ETRE SOI MEME  c'est le plus beau CADEAU qu'on puisse se faire à nous et par conséquence aux autres

rien n'est plus important que l'authenticité

un perroquet    un ara

un perroquet rapporte tout ce qu'il entend  ne faisons pas pareil et surtout ayons le respect de ceux qui écoutent   

hier j'ai été horrifiée  j'entendais parler de "vrais français" alors c'est quoi ce mot  !!!  çà résonne comment pour les gens expatriés de deuxième génération et dont souvent les parents venus en france on fait un boulot que les français ne souhaitaient pas faire au départ

que faire devant çà?

pauvre france   où va t on?

la priorité première à mon point de vue  RESPECT de l'autre

sinon çà mène à la haine, à la discorde et au racisme 

l'histoire nous a déjà maintes fois montrer çà  hélas

le monde est composé d'hommes, de pays; de tribus    nous avons tous un point commun  nous sommes nés et mourons tous  alors ne nous gachons pas la vie  bien au contraire profitons en

offrons nous lumière  et regardons l'autre aussi avec sa lumière 

chaque être humain a un coté sombre et un coté lumineux  à nous de savoir quel coté nous voulons regarder

par un temps dejà très clair et qui va appeler un grand et beau soleil  je vous souhaite

UN EXCELLENT  DIMANCHE

les maquereaux portaient en charrette à une époque vers les sauriseries pour être soit mis en filet  soit fumer et après direction france entière

je peux dire que dans les maisons de gens humbles,c'était aussi les achats en grosse quantité pour faire les marinades dans des énormes pots en terre   cela devait servir au repas souvent deux fois par semaine   dieu que j'ai mangé çà  à la fin avec dégout car c'etait repas du "peuple" et nous les jeunes on en avait marre  pas de repas mc do  à cette époque   mais maintenant j'apprécie à nouveau énormément ce met

on mettait une rangée  oignons carottes et clous de girofle ensuite une rangée de maquereaux et re oignons etc    sur le dessus on versait gros sel et vinaigre  et les gens laissaient ce saloir pendant au moins un mois sans y toucher   le poisson cuisait ainsi  après on pouvait manger  et humm çà j'adorais car on accompagnait avec des patates cuites dans la braise ou dans la petite porte (réserve de journaux) dans les poeles qui chauffaient les habitations à cette époque    bon çà une bonne patate cuite dans la braise et avec dessus un peu de crème ou du beurre que nous salions aussi nous même    souvenir  souvenir

en plus les hommes qui bossent dans le poisson portaient des vareuses (voir mon oncle à gauche de la photo) bleues marines   béret et souvent mégot à la bouche  et aux pieds des sabots ou bottes spéciales dans les saurisseries  

joli non!!

moi petite ce qui m'attirait c'était d'aller jusqu"au bout du phare et de sentir l'écume des vagues qui se projetaient sur mon visage, humm çà sentait bon les embruns

mais un jour, par tempête, eh bien je me suis trop penchée et l'inévitable est arrivée  je suis tombée à la mer  et je l'ai échappée belle car pas simple de me repêcher à cet endroit où les vagues sont si fortes et le parapet de la jetée ; en plus je ne savais pas nager, ce sont des pêcheurs qui sont accourrus à mon aide   du haut de mes 14  15 ans  j'avais pas l'air godiche et penaude   la tête que je devais avoir   surtout trempée jusqu'aux os et mes beaux cheveux longs  qui dégoulinaient    me rappellent  devant ma tête  ils ne m'ont pas grondée   ils étaient soulagés et éclataient de rire en voyant mon air triste    je n'ai aucun souvenir d'avoir eu le temps d'être paniquée   tout s'est passée si vite !!!

malgré cela, j'adore toujours autant la mer et sentir les embruns sur mon visage mais je suis devenue prudente, par temps de tempête je ne m'approche plus du bord